LIBERTY *Nom du vaisseau : Battlestar Liberty - BSG 14
*Nom du commandant : Amiral Erik Valath
- Age : 33 ans
- Sexe : Masculin
*Nom du second :
*Ogives : 20
*Canons principaux : 24
*Canons secondaires : 392
*Vitesse max. : Moteurs PRL (FTL)
*Description et historique :
Vaisseaux fraîchement sortit des chantiers de Picon il n'as participer qu'as trois missions avant de changer son commandant qui partait à la retraite. Ce fut Le commandant Valath qui prit alors le Liberty en main.
En parfaite état et doté des dernières technologies, le Liberty échappa de peu à l'attaque des Cylons.
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Données techniques :
Dimensions :
Longueur - 1460 mètres environ
Hauteur - 500 m environ
Largeur - 185 m environ
Plateforme de vol: 366 mètres
Propulsion:
2 moteurs FTL Drive (PRL)
4 engins subluminiques
40 appareils de maneuvres (montés en 10 groupes de 4)
Carburant - Tylium
Equipage:
2 700 hommes d'équipage et 100 marines
Flotte aérienne:
Vipers - 1 escadrons de combat colonial, Viper Mark II (un escadron comprendre 20 Vipers et 1 Raptor) - 4 Escadrons au maximum -
Raptors - 10
Armement:
20 Ogives nuclaires Tactique
416 Canons dont 378 batteries de mitrailleuses de proximité (canons rotatifs de 40mm) et 48 Canons lourds ( Tourelles multi-canons) tirants des obus de classe D ou des Sharpnels (24 Canons Principeaux et 392 Canons secondaires)
Blindage :
Le Battlestar Liberty dispose d'un blindage anti-radiation, et d'une structure capable de résister à plusieurs bombes nucléaires tactiques.
Chaque compartiment peut être isolé pour prévenir les radiations ou les incendies.
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Les opérations aériennes sont lancées à partir de deux plateformes de vol, une à babord, l'autre à tribord. Chaque plateforme est rétractable en cas de bon PRL (saut FTL).
Chacune est équipée de 8 tubes de lancement de Viper, de zones d'atterrissage et de sites de contrôle de lancement.
Un officier, le LSO (Landing Signal Officer), est responsable de toutes les opérations de vol sur le Battlestar.
Le Liberty comprend aussi :
- des zones réservées aux officiers et au personnel
- des laboratoires
- 12 unités de traitement de l'oxygène
- un centre de traitement des eaux usées
- un centre médical
- plusieurs armureries
- divers hangars
- deux salles de briefing pour les pilotes
- des salles d'entrainements (tir, corps à corps, musculation)
- un atelier de fabrication de munitions
- des salles d'eau (douches, sanitaires)
- de lieux de repos et de détente
- des laveries
- une baie d'observation (à l'avant de l'appareil)
- etc...
Le coeur du Battlestar est son Centre de Commandement et d'Information ou CIC. C'est de cet endroit que le commandant Horn décide des diversses tactiques et stratégies de combat. Le CIC regroupe les contrôles de pilotage (PRL inclus), d'armement, de dommages, la station tactique, le centre de communications et es commandes de navigation.
Du CIC, le commandant Horn peut lancer une attaque, une reconnaissance Raptor, un bon PRL, un transfert de materiel ou d'homme...
Le Liberty dispose aussi du COR (Command Observation Room), un centre où sont préparées les attaques combinées avec d'autres Battlestar, les attaques de Vipers...
Le Liberty possède beaucoup de pièces d'artillerie de différents calibres que ce soit pour son autoprotection ou l'attaque de vaisseaux ennemis. Il possède aussi des tubes lance-missiles qui lui permettent de faire des frappes au sol ou sur d'autres vaisseaux avec des obus ou des ogives nucléaires. Cela permet une action de défense ou d'attaque groupée, aussi bien que des missions où il peut se retrouver à agir seul.
La fabrique de Vipers, classique dans les Battlestars de classe Mercury, fut remplacée sur le Liberty par un Bloc opératoire dernier cris et des infrastructures médicales supplémentaires.
Dans un vaisseau spatial les deux ennemis principaux sont l'incendie en milieu confiné et la différence de pression entre la zone habitable pressurisée et le milieu extérieur. Chaque pièce doit être isolable du reste du bâtiment au cas où une brèche qu'on ne pourrait combler s'y produirait. C'est pour cela que le Liberty est équpé d'un système complexe de tuyauterie et de contrôle de la pression d'air pour condamner telle ou telle partie du vaisseau dans le but de ne perdre aucune réserve d'air dans l'espace et d'éteindre un incendie. Cela permet aussi de dépressuriser ou repressuriser une salle quand on en a besoin. Des sas étanches permettent de garantir le verrouillage de tous les accès des salles. En parallèle, il existe, dans toutes les zones pressurisées, des systèmes d'alarmes et de régulation de température et du niveau d'hygrométrie pour maintenir une température viable et éviter les phénomènes de corrosion métallique et de court-circuit. Car, en effet, si du givre ou de la condensation apparaissait, les systèmes électriques ou électroniques non étanches risqueraient de voir cette eau créer des courts-circuits et donc leur destruction, pour au final provoquer des incendies d'origine électrique.
Seule la compartimentation du bâtiment peut alors permettre d'attendre éventuellement des secours, s'ils viennent, dans des zones non touchées. Cela motive alors encore plus les membres de l'équipage à ne pas arriver à une situation qui signifierait une mort quasi certaine. Pour priver donc un incendie de son comburant, l'air, une méthode ultime existe sur un vaisseau spatial : la ventilation. Cela consiste à expulser l'air pour éteindre instantanément le feu en le laissant s'échapper dans l'espace mais cela implique d'éjecter par la même occasion tout ce qui se trouve dans les salles où cela se produit. De ce fait, si le personnel présent n'est pas équipé de scaphandre, c'est la mort assurée...
Une décisions difficile à prendre, mais qui peut sauver le vaisseaux.