Situation d'urgence

- Ce...ce n'est pas mon sang madame, c'est celui du 1ère Classe Nelly. Il est mort madame.

Le marine tourna les talons et courut vers la sortie.
Les informaticiens, un peu paniqués...

- Les communications sont toujours inactives madame et les portes refusent de s'ouvrirent.

- Du sang froid messieurs ! Les Cylons ne SONT PAS en situation de force. Avez-vous identifié la nature de l'attaque contre les systèmes de communication ?

Et suivant son propre conseil, elle est d'un calme olympien.

- Oui madame! Ils ont d'abord envoyer un virus pour nous cacher leur entrer dans notre système, puis il ont coupé manuellement les circuits......GLOUPS......ils ont dépressurisé les compartiments qui ont un accès aux circuits manuels.....

Là on peut paniquer...

- Je croyais que les systèmes vitaux étaient protégés !

L'informaticien se décomposa...

- Ils....ils le sont, mais ils l'ont fait manuellement avec un virus inconnues madame....

Le lieutenant se précipita vers le Commandant, déscandant les marche de la console de comm à toute vitesse.

- Madame, nous avons rétablie les communications écrites! Le sergent Williams viens de nous contacter. Les cylons ont dépressurisé les sections 22 à 36, 12 morts pour l'instant.

Il marquât une pause puis reprit sa lecture.

- Ils se sont séparé en deux groupes, un qui se dirige vers l'arrière du vaisseau et le second.......le second vient vers le C.I.C madame...

- Vous deviez déconnecter du réseau les systèmes vitaux ! Nous en reparlerons...

Elle se tourna ensuite vers son second. L'arrière... Les moteurs et le CIC. Ils savaient où frapper les bougres.

- Y'a-t-il un contingent à la poursuite du groupe qui se dirige vers l'arrière ?

- Nous avons deux groupe d'intervention qui sont à l'arrière, devant la salle des machines...deux autres groupes en avance.

Le marine qui les avaient prévenus de l'arrivée des Cylon refit son apparition.

- Madame, les cylons ont coupé le vaisseau en deux, les renforts ne peuvent pas arrivés jusqu'as nous.

Déterminée, Ophelia sortit son arme.

- Dans ce cas... Messieurs, il va falloir nous débrouiller nous mêmes. Je veux un maximum de personnels dans la section 4. Nous allons les attendre là bas. Service minimum au CIC. Et verrouillez derrière nous.

Elle vérifia son chargeur et se tourna vers son Lieutenant.

- Vous restez avec eux. Trouvez un moyen de nous sortir de ce pétrin et de reprendre le contrôle de ce vaisseau.

Puis au marine.

- Allons-y. Tachons de trouver des hommes en chemin.

Après un dernier regard à l'équipe du CIC, Ophelia prit la direction de la section 4.

Salle des machines : Situation d'urgence (arrière)

=> Section 4

Retour de la Section 4

Escortée de deux marines, Ophelia s'arreta devant la porte du CIC.

* ceci s'appelle une erreur stratégique... Coooomment on va faire pour rerentrer s'ils ont vérouillé ? Essayons toujours... *

Elle se tourna vers les marines.

- Est-ce que vous avez une radio ? Essayez de contacter le CIC... sait-on jamais...

[Correct]

- Ma radio est morte madame, elle a arrêter une balle....et je ne m'en plaint pas. Richardson, votre radio!

- Tenez madame.

Richardson donne bien gentillement sa radio à son Commandant.
Mais le C.I.C n'as pas un système de reconnaisssance de carte pour l'identification du personnel en cas de crise? le boitier à côté de la porte....

[prout et si c'est bloqué de l'intérieur, huuum ? :p (on se rattrape comme on peut) ]

Ophelia activa la radio en croisant les doigts.

- CIC ? Répondez, ici le Commandant Pratt...

Dans le C.I.C les communications commençaient a revenir petit à petit, les techniciens s'y appliquaient sur la passerelle mais également dans les autres partis du vaisseau.
Des infos concernant les morts et l'état de certaines sections arrivaient en masse, mais étrangement cela était moins grave que ce que le Lieutenant Velasquez pensait. Soudain l'officier des Coms interpela le Second et lui passa son casque.

- Commandant, où êtes-vous? Vous avez besoin de renforts?

Ophelia leva le nez, ne s'attendant pas à une réponse.

- Nous sommes derrière la porte, lieutenant. Vous pouvez ouvrir, la section est sécurisée.

- Derrière la......oui, on vous ouvre Commandant.

La porte coulissa, laissant rentré le groupe de "Warriors" qui avaient abattu les cylons.
Tous affairé sur leurs console ils ne levèrent pas le nez à l'entrée du groupe, seul certain blessés assis dans un coin leur firent un signe.

- Alors, que c'est-il passé? Ho..mais vous êtes blessée....

Ophelia balaya la remarque de la main.

- On aura le temps pour ca plus tard. Quelle est la situation ? Où en êtes vous ?

- Et bien, les coms reviennent petit à petit, grâce à nos techniciens et sans doute une aide extérieur. Par contre nous sommes toujours étanche...et nous n'avons aucune nouvelles de l'arrière du vaisseau et de la salle des machines.

Il prit une feuille et la tendit au Commandant.

- Nous allons bientôt rétablir un éclairage correct Madame et le virus est en passe d'être éliminé.

Il se retournât et parlât avec un informaticien, la lumière revint à ce moment là.

Ophelia avait commencé la lecture de la fiche quand la lumière revint. Elle l'accueillit avec un léger sourire. Enfin une bonne nouvelle.

- Ne vous relachez pas, messieurs.

Elle réfléchit un instant. Si les cylons avaient tout verrouillé manuellement, il était possible que les ouvertures soient bloquées manuellement aussi.

- Envoyez un groupe vérifier les portes. On pourra peut être déverrouiller manuellement.

- Ils viennent d'être envoyer madame.

Après quelques échanges avec un officier des coms le Lieutenant se retournât.

- ........Nous avons ouvert un canal de communication avec l'arrière du vaisseau madame.

Ophelia s'autorisa un soupir de soulagement. La situation partait dans la bonne direction.

- Formidable. Passez-les moi.

La bataille avait été breve mais pas monotone du tout. Les balles avaient vollés dans tous les sens et même ce qui servait de barricade n'avait pas su remplir correctement son rôle. Cependant, le bilan avait été plutôt positif. Un blessé, mais aucuns tués. Le mécano touché allait logiquement s'en sortir vivant. Du moins c'est ce que tout le monde espérait et en particulier lui.

Alors qu'Hendrix se releva doucement de cet affrontement, marchant lentement vers les Cyclons à terre, il entendit la radio grésillé un bref instant avant de donner un signal sonore claire. Une voix retentit alors :

"Ici C.I.C. Demande point sur la situation dans votre secteur."

Hendrix se retourna vers le marine qui possédait cette radio. Ce dernier ne mit pas longtemps avant de comprendre ce que voulait le capitaine. Il lui envoya aussitôt la petit boîte parlante. Le pilote l'a rattrappa au vol et appuya sur l'un des boutons :

"Content d'vous entendre les gars !"

Il respira un bon coup avant de reprendre :

"On est dans la salle des machines. On a deux Cyclons par terre et un mécano aussi. Il lui faudrait des soins rapides. Par contre, j'ai aucunes idées de la situation plus loin que mon couloir. Je crois qu'il y a eu des pertes à tous les niveau."

Un deuxième arrêt coupa sa parole, un regard sur les hommes qui étaient avec lui puis il rapprocha la radio :

"Merci les gars ! Phoenix terminé."

Il relanca la radio à son propriétaire et alla voir comment le mécano s'en tirait. Une balle l'avait sallement amoché au niveau du ventre. Rien de vital n'avait été touché, mais il ne pourrait pas vivre des heures dans cette situation. Des autres balles s'étaient logés dans le bras droit et l'épaule droite. Les tonneaux ne sont pas fait pour arrêter des balles Cyclons allant à une vitesse vertigineuse.

*Ce pauvre diable a eu de la chance de s'en tirer à ce prix là... comme nous tous...*

"Courage vieux ! C'est fini ! Enfin pour le moment..."

Ophelia ne perdit pas de temps.

- Envoyez des équipes médicales vers la salle des machines. Qu'ils rejoingnent le groupe envoyé pour ouvrir la porte. Je veux un rapport de situation dans 15 min.

Elle se tourna ensuite vers les techniciens et les informaticiens.

- Où en êtes vous ? Avez-vous repris le contrôle ?

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