Section 4

La section 4 où se rendent le groupe du Commandant Ophélia pour la défense de l'Héraclès.

Ophelia indiqua les points à tenir aux marines qui l'accompagnait. Un contingent d'une quinzaine de personnes glanée en court de route. Un sergent tachait de battre le rappel dans les autres secteurs.

- Soldats, nous allons les accueillir ici. Vous, je veux que vous vous teniez cachés ici. Lorsque nous ouvrirons le feu, vous les prendrez à revers.

Elle affichait une expression froide et déterminée. Prête à l'action.

[Roooooo même pô une description de la "place forte".....tu me déçoit Ophélia....Burp.....Ho pardon.... Section 4 107747

]

La section 4 était l'endroit rêver pour une embuscade, des caisses étaient entassées sur les bord de la pièce et servaient actuellement de barricade de fortune à l'équipage, de plus les Cylons seraient obligé de passer par là pour arrivé au C.I.C.
La lumière n'était pas aussi puissante que normalement, mas l'éclairage de secours produisait une pâle lumière qui baignait la pièce dans une semis pénombre. L'aire était emplie d'une odeur d'huile et de métal fondue, certainement des relents venant de sections plus loin qui avaient subits des dommages.

[maaaaais je te laissais ce plaisir :p ]

Dans un silence tendu, les hommes prirent place. Ophelia se placa à un point stratégique. Derrière les premieres lignes certes, mais en bonne place pour faire un carton. L'équipe était en position et prête à tirer.

- N'oubliez pas : ce ne sont peut être que des machines, mais ils savent tirer. Restez concentrés.

Au loin, on entendait des cris et des coups de feu.....puis les cris cessèrent.....quelques minutes plus tard cela repris.
Les visages étaient tendus et les mains crispés sur les fusils et les pistolet.
On pouvait entendre certaines personnes priés les Dieux, tandis que d'autre parlaient aux membres de leur famille disparue.

Le temps passait lentement et n'était ponctué que par des coups de feu et des cris...ils attendirent environ dix minutes....dix minutes interminables qui furent interrompu par des bruits de pas dans le couloir, assez rapprochés et rapide.....quelqu'un qui courait. Soudain des coups de feu, plus près d'eux....une silhouette dans le couloir....avec un P90 qui se rue vers eux...

Ophelia sentait bien que tout un chacun était tendu. Mais il était hors de question qu'ils commettent la moindre erreur. Il n'y avait pas que des cylons qui circulaient dans les coursives.

- Soyez surs de votre cible avant de tirer, soldats !

Tous le monde, aux aguets était prêt à tirer. Un marine fit son apparition courant comme un dératé vers la position du Commandant et de ses Hommes. Il criait pour se donner du courage (et peut que le cylon le suive aussi, qui sait), il se jeta par dessus la barricade pour se planquer, deux Cylons sur les talons.

Ophelia ne prit pas le temps de vérifier que le marine se portait bien. Les Cylons étaient là.

- Feu à volonté !

Et suivant son propre ordre, elle ouvrit le feu. Dans le déluge de balles, il était difficile de déterminer qui touchait quoi. Mais à force de tirer dans le tas, les deux machines furent touchées au point sensible : la "tête". Les cylons hors d'état de nuire, les marines firent un mouvement pour se déplacer.

- Tenez vos positions ! Nous ne savons pas s'il y en a d'autres ni quand ils vont arriver !

A peine eu-t-elle terminer sa phrase qu'un tir lui éraflât le bras au niveau du biceps, une entaille, son uniforme déchiré et du sang...ça allait chier!
Deux autres Cylons arrivèrent immédiatement après cela, tirant a toute berzingue, tuant sur le coup deux marines. Il s'effondrèrent et furent immédiatement remplacer parleurs collègues.
Ça tirait dans tous les sens et les Cylons ne reculaient pas, bien au contraire....

Ophelia frémit à peine. Dans le feu de l'action, elle avait autre chose à faire qu'à faire attention à une petite blessure. Les Cylons étaient nombreux, et mine de rien, ils gagnaient du terrain. L'équipe qui les prenait à revers n'arrivait pas à les ralentir.
Les Cylons se faisaient de plus en plus pressants, de plus en plus proches de leur position. L'un d'eux réussit même à sauter la barricade, mais il n'eut pas le temps d'atterrir : avec une expression féroce, Ophelia l'explosa en plein vol.
Elle ne prit pas non plus le temps de s'en réjouir. Il fallait faire face à l'invasion.

Le premier fût stopper net et s'effondrât tel une masse. Le second quand a lui, sans doute un peu moins Section 4 547923

que la moyenne, sauta pour passer par dessus la barricade,mais manque de pau, il explosa en plein vol et finit sa cours au fond de la pièce, dans le mur.

Ils venaient d'en abattre quatre....deux morts, quatre blessées léger (non mortel).....le marine rescapé couvert de sang....

Dans les couloirs plus de bruits...le calme était revenue sur le vaisseau (enfin à l'avant tous du moins).

Ophelia attendit un temps avant de se détendre. L'ennemi, il est pas con, il frappe quand on l'attend pas. La preuve... Finalement, à peu prêt certaine que cette vague était anihilée, le commandant se redressa.

- Tout le monde va bien ?

Un marine était agenouillé, prenant le poul de deux de ses camarades. Et à son expression, ce n'était pas une bonne nouvelle qu'il avait à annoncer.

- Non Commandant. Ceux-là sont morts...

Ophelia prit une inspiration et ferma les yeux. C'était le risque... Pourtant, vu la situation, chaque mort était une tragédie.

- Des blessés ?

- Rien de grave, Commandant.

- Je veux qu'un groupe tienne cette position. Et assurez-vous que ces boîtes de conserve sont bien hors service. Les autres, fouillez cette section de l'appareil. Deux hommes avec moi : nous retournons au CIC. Voyons si nous pouvons reprendre le contrôle de notre appareil. Bon travail soldats.

Et elle remonta le couloir d'un pas vif.

Le retour au C.I.C se fit sans encombre, puisqu'il était dans une zone encore non atteinte par les Cylons.

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